Sujet: 7 - LES RELATIONS ENTRE FAE ET HUMAINS Dim 20 Mar - 20:36
LES RELATIONS ENTRE FAE ET HUMAINS
C' est une règle comprise au sein du monde fae que l'humanité ne doit pas savoir leur existence. Les humains qui découvrent les fae et qui ne sont pas réclamés ont leurs souvenirs modifiés par La Lumière ou L'Ombre. Certaines fae gardent les humains comme animaux de compagnie, les traitent comme des compagnons fidèles, mais en leur refusant les mêmes droits et libertés dont jouissent les fae. Toutes fae peut prétendre à un être humain en promettant verbalement à prendre la responsabilité de l'humain. Kenzi, un être humain, a été revendiquée comme un animal de compagnie par Bo pour la protéger des fae, mais Bo ne considère pas Kenzi comme sa propriété. Bo considère Kenzi à un pied d'égalité et la traite en tant que telle. La plupart des contacts de Bo traitent Kenzi et Lauren (son amie et amante humaine) en tant que membres acceptables de son cercle. Le Dr. Lauren Lewis, une scientifique humaine et médecin, était détenue par l'ancien chef de La Lumière. Elle portait un médaillon autour du cou comme une marque de sa propriété. Après que Lachlan est remporté le leadership de la chasse au cerf et fut couronné comme Le Frêne, il a fait référence à elle comme un "bien meuble", mais elle n'était pas considérée comme l'animal du Frêne, elle était considérée comme son chef médecin. Certains humains sont donc déclarés par les fae comme leur propriété. Les humains qui sont revendiqués comme propriété peuvent alors interagir au sein de la société fae et ne doivent pas être blessés par d'autres fae. Trick a annoncé aux autres fae de La Lumière présentes au Dal que Kenzi était la propriété de Bo pour lui permettre une telle interaction et de lui fournir une protection par Bo. On ne sait pas comment les fae décide de posséder les humains: alors que Lauren possédait des compétences qui ont été souhaitées par le premier Frêne, le deuxième Frêne, Lachlan, a pris la « garde» du père humain adoptif du Gama-Sennin à cause de son amour pour son enfant fae. Il n'y a pas de référence faite sur d'autres propriétés humaine du frêne.
Saufs pour les fai primitifs, les fae et les humains ont des types de corps compatibles pour des relations intimes et ce type de relation ainsi que des relations romantiques se développent parfois. Si un humain et une fae ont des enfants, ces derniers n'héritent pas des pouvoirs fae, mais ont cependant des capacités spécifiques à leur condition. Les enfants d'humains et de fae ne peuvent pas connaître leur parent fae (les parents fae sont découragés d'avoir des contacts avec leurs enfants humains). Autrefois, il était illégal pour un fae d'épouser son animal humain qui est réputé comme trahison et passible de mort pour tout fae qui choisit un homme plutôt que leur clan. Cependant, depuis la légalisation du mariage mixte, une fae à le droit épouser un humain. C'est parfaitement légal, à condition que la fae en demande l'accord à sa famille.
Les humains sont généralement ignorés par les deux clans, sauf en tant que propriété, animaux domestiques, esclaves et nourriture. Les fae de la lumière prennent ce dont ils ont besoin pour se maintenir, tandis que les fae de l'ombre sont plus susceptibles de tuer pour le plaisir ainsi. Les fae de la Lumière ignorent généralement les crimes que les fae de l'ombre pourraient commettre contre les humains. Malgré cela, les parents fae envoient leurs enfants à l'école humaine pour s'assurer qu'ils peuvent apprendre à interagir avec les humains, avec l'existence d'aucune indication que les fae ont un système éducatif séparé de l'homme. Le fait de se nourrir sur les humains varie considérablement parmi les espèces, mais en général cela n'implique pas l'ingestion orale. Il semble que la plupart des espèces fae ne mangent pas de la nourriture normale ou très peu. Se nourrir sur l'homme sert à assurer leur subsistance. La fréquence de prédation semble également être très variées parmi les espèces et aussi n'implique pas nécessairement de tuer l'humain. La victime peut être simplement blessée temporairement ou définitivement faible, malade, ou endommagé mentalement ou physiquement.
Deux mondes très différents et des règles spécifiques.
